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Villepin qui monte, Bayrou qui descend, Buffet qui s’en va, Laurent qui arrive....

POLITIQUE, ART DU POSSIBLE ?

Vers un ticket chic ticket choc pour 2012, à droite comme à gauche ?

dimanche 20 juin 2010 par JMT

"Le pouvoir rend stupide", a estimé dimanche le président du MoDem, François Bayrou, à propos des récentes polémiques sur le train de vie et les avantages ministériels, dont celle sur les cigares du secrétaire d’Etat Christian Blanc réglés sur fonds publics.

L’ex-directeur de la rédaction de L’Humanité, Pierre Laurent, a été élu très largement (80,7 %) dimanche secrétaire national du Parti communiste français lors du 35e congrès du PCF, succédant ainsi à Marie-George Buffet.

"On se croirait dans le métro à 6 heures du soir." Samedi après-midi, à la halle Freyssinet de Paris, le député villepiniste François Goulard balaie du regard les quelque 5.000 personnes qui jouent des coudes pour assister au lancement de République solidaire, le mouvement de Dominique de Villepin.

Un talkie-walkie à la main, Arthur de Villepin est sur le qui-vive. Du haut de ses 21 ans, tee-shirt et jean noirs, le fils de Dominique de Villepin gère en régie la sono du show festif donné samedi après-midi à la halle Freyssinet pour le lancement de République solidaire.

Dominique de Villepin a officialisé samedi devant plusieurs milliers de sympathisants le lancement de son mouvement, baptisé "République solidaire", pour offrir une alternative à la politique de "division" de Nicolas Sarkozy.

L’ancien ministre Azouz Begag (MoDem), présent samedi au lancement du mouvement de Dominique de Villepin, a plaidé pour une alliance entre l’ex-Premier ministre et François Bayrou pour la présidentielle de 2012.

Marie-George Buffet a fait ses adieux à la tête du PCF vendredi, réunissant pour l’occasion toute la gauche, de Martine Aubry à Olivier Besancenot et Jean-Luc Mélenchon réunis au 35e congrès.

L’ancien ministre Azouz Begag (MoDem), présent samedi au lancement du mouvement de Dominique de Villepin, a plaidé pour une alliance entre l’ex-Premier ministre et François Bayrou pour la présidentielle de 2012.

MODEM : François Bayrou : "Le pouvoir rend stupide"

Modifié le 20/06/2010 à 16:02 lepoint.fr

"Le pouvoir rend stupide", a estimé dimanche le président du MoDem, François Bayrou, à propos des récentes polémiques sur le train de vie et les avantages ministériels, dont celle sur les cigares du secrétaire d’Etat Christian Blanc réglés sur fonds publics.

AFP "Il faut en finir avec ces privilèges, 221 ans après la Révolution, la France a besoin d’une nuit du 4 août", insiste le président du MoDem François Bayrou © Julien MUGUET / MAXPPP

"Tout pouvoir absolu abuse du pouvoir. Le pouvoir rend stupide. Les cigares des uns, les avantages des autres... Ils ne voient plus de limites", déclare le leader centriste dans un entretien au Parisien/Aujourd’hui en France.

"On ne se rend pas compte à quel point les gens sont blessés par ces affaires. Il faut en finir avec ces privilèges, 221 ans après la Révolution, la France a besoin d’une nuit du 4 août" 1789, au cours de laquelle ont été abolis les privilèges, ajoute-t-il.

Interrogé par ailleurs sur ses relations avec Nicolas Sarkozy, François Bayrou répond qu’il est "en opposition" avec lui. "Mais cela ne m’empêche pas de lui parler, particulièrement pour le mettre en garde", poursuit-il, parlant d’un nécessaire échange d’"idées", de "solutions", "surtout en temps de crise".

Les deux hommes, qui se sont rencontrés au moins deux fois ces deux derniers mois, doivent se revoir mardi à l’occasion de la visite présidentielle de l’usine Turbomeca située près de Pau, dans la circonscription du député Bayrou.

"Cette usine est pour ainsi dire dans mon village et je n’irais pas ?" s’étonne ce dernier. "Je m’oppose, durement s’il le faut, mais ce n’est pas la guerre civile", conclut-il.

CONGRÈS : Pierre Laurent succède à Marie-George Buffet à la tête du PCF

Modifié le 20/06/2010 à 13:08 lepoint.fr

L’ex-directeur de la rédaction de L’Humanité, Pierre Laurent, a été élu très largement (80,7 %) dimanche secrétaire national du Parti communiste français lors du 35e congrès du PCF, succédant ainsi à Marie-George Buffet.

Pierre Laurent a été élu dimanche secrétaire national du Parti communiste français © AFP

Le fils de Paul Laurent, figure du PCF, était depuis le 34e congrès, en décembre 2008, coordinateur national au coeur d’une direction collégiale autour de Marie-George Buffet.

Dimanche, pour succéder à cette dernière, il a obtenu 402 voix pour sur les 511 votants (96 nuls), à l’issue d’un dépouillement en chansons, de la Jeune Garde à l’Internationale et d’une intervention des travailleurs sans-papiers en grève. Le seul autre candidat au poste de secrétaire national, l’eurodéputé Jacky Hénin, qui fut maire de Calais (2000-2008), n’a finalement pas pris part au vote pour "ne pas casser du sucre sur le dos de (s)a propre formation", ce qui "ne serait pas responsable vu le contexte de crise".

Les adieux de Marie-George Buffet

Vendredi, l’ex-ministre des Sports, Marie-George Buffet, avait fait ses adieux à la tête du PCF, réunissant pour l’occasion toute la gauche, de Martine Aubry (PS) à Olivier Besancenot (NPA) et Jean-Luc Mélenchon (PG), dont l’ambition présidentielle agace nombre de communistes.

Durant les débats sur la séquence présidentielle dans la matinée, Pierre Laurent a prévenu, sous des applaudissements : "Jean-Luc Mélenchon ne sera pas candidat si nous (le PCF) ne le décidons pas". "Il y aura un débat sur les candidatures", a-t-il assuré, n’excluant aucune possibilité, entre candidat PCF, issu du mouvement social ou Mélenchon.

Les communistes décideront du candidat qu’ils soutiendront, issu du PCF ou pas, lors de leur prochain congrès en juin 2011, selon la résolution finale adoptée dimanche par 76 % des délégués ayant voté. Un "point d’étape" est toutefois prévu "fin 2010" avec l’assemblée des animateurs de section communistes, le PCF gardant ainsi la maîtrise de l’agenda.

La résolution prévoit également de "lancer un appel à une riposte amplifiée à la politique de la droite", notamment sur les retraites avec une grande campagne d’été pour le droit à la retraite à 60 ans.

Le texte, qui appelle à "transformer le PCF", entend également donner "un nouvel élan" au Front de gauche par la construction d’un "pacte d’union populaire" rassemblant "des personnalités du mouvement social et populaire, du monde de la création, des intellectuels" non membres d’une des forces du FG.

Mais il n’est pas directement fait mention de l’association "Les partisans du FG" annoncée conjointement par Marie-George Buffet et Jean-Luc Mélenchon quelques jours avant le congrès.

RÉPUBLIQUE SOLIDAIRE :Dominique de Villepin séduit large

Par Ségolène Gros de Larquier Modifié le 20/06/2010 à 19:28 lepoint.fr

"On se croirait dans le métro à 6 heures du soir." Samedi après-midi, à la halle Freyssinet de Paris, le député villepiniste François Goulard balaie du regard les quelque 5.000 personnes qui jouent des coudes pour assister au lancement de République solidaire, le mouvement de Dominique de Villepin.

L’ancien ministre Azouz Begag a rallié République solidaire, le mouvement politique lancé samedi par Dominique de Villepin © Christophe Guibbaud/ABACAPRESS.COM

"Jeunes ou vieux, ils sont tous d’origine et de couleur politique différentes. C’est une grande force", insiste celui qui fait partie de la petite dizaine de députés UMP soutenant l’ex-Premier ministre.

Si elle est une "force", cette diversité des origines et des couleurs politiques apparaît surtout comme l’ADN du mouvement villepiniste, qui compte 15.000 adhérents. Car bon nombre de sympathisants et de militants sont issus des rangs de l’UMP, du Parti socialiste ou encore du MoDem.

Mais, samedi, il n’y a qu’un invité surprise à la dimension nationale, l’ancien ministre Azouz Begag actuellement encarté au MoDem. Par sa présence, ce dernier entend justement incarner ce "rassemblement des Français au-dessus des partis" que prône Dominique de Villepin. "Je suis encore au MoDem. Mais je suis un démocrate et je n’ai pas d’oeillères idéologiques. Je veux avant tout retrouver le chemin de la France républicaine", explique Azouz Begag, qui plaide pour une alliance entre Bayrou et Villepin pour la présidentielle de 2012.

Le "symbole Azouz Begag"

Pour République Solidaire, le ralliement d’Azouz Begag est lourd de sens. "Il est la synthèse même de tous nos adhérents. Il est brillant, il est indépendant et il est issu de l’immigration", explique la porte-parole du mouvement, la députée UMP Marie-Anne Montchamp.

Une manière de rappeler que s’occuper des banlieues et des jeunes issus de l’immigration est une des préoccupations majeures de Dominique de Villepin. À quelques mètres de là, une dizaine de jeunes, casquettes vissées sur la tête, l’ont bien compris.

Venus de Corbeil-Essonne (91), ils portent une banderole Les banlieues avec Villepin et s’exclament : "Villepin connaît la réalité des quartiers. On le soutient même si on sait qu’on sera peut-être déçu s’il arrive au pouvoir un jour. Mais pour le moment, personne, même pas la gauche, n’a trouvé de solution pour les banlieues."

Bon nombre de militants jugent les propos de l’ex-Premier ministre teintés de "solidarité" et de "justice sociale". "Aujourd’hui, les différences de salaires entre les Français sont abyssales. On ne peut pas être de gauche et accepter cela", explique une jeune femme d’origine iséroise. "Villepin a une stature d’homme d’État. Cela n’a rien à voir avec Bayrou qui a de bonnes idées mais sans aucun charisme", note pour sa part un sympathisant du MoDem venu de Dordogne.

Comme lui, beaucoup restent encore très marqués par le discours contre la guerre en Irak de l’ancien ministre des Affaires étrangères devant les Nations unies en 2003. "Villepin peut réellement apporter quelque chose à la France. Il est très reconnu à l’étranger. C’est le nouveau de Gaulle", prétend un militant parisien.

Mais, surtout, nombreux sont ceux venus au Halle Freyssinet qui voit en Villepin le successeur natuel de Jacques Chirac et une alternative à droite face à Nicolas Sarkozy. "L’UMP se résume à des têtes blanches issues des beaux quartiers. Or, en politique, il faut transcender les clivages", lâche un Rennais déçu par le chef de l’État.

Aujourd’hui crédité de 7 % des intentions de vote dans les sondages pour la présidentielle de 2012, le chef de file de République Solidaire a deux ans pour montrer quelle est sa réelle capacité à briguer un mandat et son degré de nuisance vis-à-vis de Nicolas Sarkozy. D’ici là, Dominique de Villepin veut continuer de rassembler, et en appelle à tous les "orphelins" de la République.

COULISSES : République solidaire, une affaire de famille

Par Ségolène Gros de Larquier à 08:22 - Modifié le 20/06/2010 à 10:19 lepoint.fr

Un talkie-walkie à la main, Arthur de Villepin est sur le qui-vive. Du haut de ses 21 ans, tee-shirt et jean noirs, le fils de Dominique de Villepin gère en régie la sono du show festif donné samedi après-midi à la halle Freyssinet pour le lancement de République solidaire.

Le mouvement villepiniste, sans autre source de revenus que les cotisations de ses 15.000 adhérents, a restreint les dépenses au strict nécessaire pour le lancement de République solidaire © Sipa

Quand son père monte sur le podium pour prononcer son discours, le jeune homme longiligne aux lunettes rondes supervise avec son équipe l’enchaînement des musiques et la retransmission vidéo sur les huit écrans géants disposés dans la salle.

Pendant plus de deux mois, Arthur de Villepin s’est investi corps et âme pour préparer l’événement. Et son engagement date de la première heure : en mars dernier, il était déjà aux côtés de son père lorsque ce dernier a annoncé sa décision de créer sa formation politique. "Arthur nous a énormément aidés. Il a fait le lien entre son père et la petite équipe du Club Villepin" qui est formée d’une dizaine de personnes et chapeautée par Brigitte Girardin, explique un organisateur.

Un budget de 70.000 euros

Pour ce grand rendez-vous fondateur, Dominique de Villepin a supervisé tous les détails. Le choix du nom du mouvement "République solidaire", pour lequel il avait plaidé en mars, n’a été arrêté qu’il y a quelques jours.

Outre son grand discours, il a aussi concocté avec soin la play-list des chansons qui ont résonné dans les 18.000 m2 de décor industriel de la halle Freyssinet et travaillé sur le logo bleu-blanc-rouge des tee-shirts "Avec Villepin" portés le jour J. "À ceux qui critiquent Villepin qui n’a jamais été élu, moi je leur réponds que pourtant il connaît le militantisme ! Il nous l’a prouvé !" lance, admiratif, un militant bénévole de 28 ans.

Le mouvement villepiniste, sans autre source de revenus que les cotisations de ses 15.000 adhérents, a restreint les dépenses au strict nécessaire. Et pour ne pas alourdir la facture - près de 70.000 euros - les bénévoles ont été largement sollicités. 400 jeunes sont arrivés à 8 heures samedi matin à la halle Freyssinet pour installer les stands, accrocher des banderoles et disposer les 3.000 chaises réservées.

Et dès 14 heures, ce sont eux encore qui ont accueilli les militants et assuré la sécurité. "Nous n’avons pas compté nos nuits blanches ces dernières semaines pour tout organiser. C’est clair que l’on manque de moyens financiers, raconte l’un d’eux. Mais comme disait le général de Gaulle : l’intendance suivra !"

Une conviction que partage d’ailleurs Brigitte Girardin, la numéro deux du mouvement. "Avec des bouts de ficelle, avec des bénévoles, nous avons été capables d’ouvrir à peu de frais sur la Toile un réseau social qui marche et de réunir près de 5.000 personnes un samedi du mois de juin", note-t-elle. Et d’ajouter, à-propos : "à l’heure où 18 millions de Français ont du mal à boucler leurs fins de mois", cette "sobriété est bien naturelle".

Villepin lance son mouvement "République solidaire" pour préparer 2012

AFP, Mise a jour : 19/06/2010 21:28

Dominique de Villepin a officialisé samedi devant plusieurs milliers de sympathisants le lancement de son mouvement, baptisé "République solidaire", pour offrir une alternative à la politique de "division" de Nicolas Sarkozy.

Azouz Begag (MoDem) plaide pour une alliance Bayrou-Villepin

AFP, Mise a jour : 19/06/2010 15:36

L’ancien ministre Azouz Begag (MoDem), présent samedi au lancement du mouvement de Dominique de Villepin, a plaidé pour une alliance entre l’ex-Premier ministre et François Bayrou pour la présidentielle de 2012.

CONGRÈS : Marie-George Buffet fait ses adieux à la tête du PCF

Modifié le 19/06/2010 à 10:28 lepoint.fr

Marie-George Buffet a fait ses adieux à la tête du PCF vendredi, réunissant pour l’occasion toute la gauche, de Martine Aubry à Olivier Besancenot et Jean-Luc Mélenchon réunis au 35e congrès.

AFP Marie-George Buffet a passé la main © DELPHINE GOLDSZTEJN / MAXPPP

Après neuf ans comme numéro un du PCF, l’ancienne ministre des Sports, qui restera membre de la direction, s’est félicitée d’avoir devant elle Martine Aubry (PS) et Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche) - ses ex-collègues du gouvernement Jospin -, mais aussi Cécile Duflot (Verts), Olivier Besancenot (NPA), Arlette Laguiller et Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière).

"Pourrait partir d’ici une manifestation unitaire qui aurait une sacrée allure", a déclaré Mme Buffet, visiblement émue à la fin de son discours devant une salle debout applaudissant longuement. "Ce n’est pas une mise au vert ; plus les jours passent, plus mes petits-enfants grandissent, plus j’ai envie de militer, plus je me sens profondément communiste et féministe", a-t-elle dit.

Les trois responsables du NPA et de LO ont été les seuls à ne pas monter sur la tribune pour la photo de famille. "Ça m’a paru être la photo du futur gouvernement", a expliqué Arlette Laguiller, un verre de champagne à la main lors de la réception finale.

Martine Aubry, qui a offert à Mme Buffet un foulard en cadeau, a dit toute son "amitié" à l’ex-numéro un communiste, "une femme véritablement de gauche qui n’a jamais renoncé à ses valeurs" et avec qui elle a travaillé "en toute confiance" durant les années Jospin (1997-2002). Cécile Duflot lui a également rendu hommage, Mme Buffet faisant partie de ces gens qui sont "plus des êtres humains que des combattants".

"Au-delà des désaccords, notamment durant la gauche plurielle, on a eu des combats communs comme le Traité constitutionnel européen, le CPE et aujourd’hui la bataille des retraites", a reconnu Olivier Besancenot, arrivé en retard au discours. Nathalie Arthaud, elle, n’est "pas venue saluer l’ancienne ministre" mais la militante communiste.

L’hypothèse Mélenchon crispe

Quant à Jean-Luc Mélenchon, dont beaucoup craignent qu’il ne fasse une OPA sur le PCF d’ici la présidentielle de 2012, il a salué la "loyauté" de Marie-George Buffet qui a été "un levier dans l’extraordinaire aventure du Front de gauche", au milieu d’une nuée de caméras à son arrivée dans l’amphithéâtre du Cnit de la Défense. Mais l’éventuelle candidature du président du Parti de gauche crispe dans les allées du congrès. "Il faut un candidat communiste à la présidentielle", a lancé devant les délégués André Gerin, assez applaudi.

Souhaitant que le PCF se décide sur les candidatures avant la fin de l’année et non au congrès de juin 2011 comme le prévoit la direction, le député "orthodoxe" du Rhône déplore "l’effacement du PCF" auquel aspire selon lui Jean-Luc Mélenchon.

Opposé à l’"enfermement" du PCF dans la gauche de la gauche, Daniel Cirera (Communisme21) a déploré que la direction, en décidant quelques jours avant le congrès d’un "programme partagé" avec le FG pour 2012, ait mis les communistes devant le "fait accompli".

Alors qu’une résolution de synthèse doit être votée samedi, Pierre Laurent, qui doit succéder à Mme Buffet dimanche lors du vote des 600 délégués, s’est dit "confiant" sur le désir des communistes de "confirmer et amplifier le rassemblement du Front de gauche".

Son seul concurrent au poste de secrétaire national, l’eurodéputé Jacky Hénin, est conscient de n’avoir aucune chance. Mais "il est des moments où il faut savoir dire trop c’est trop", explique l’ancien maire de Calais, déplorant que le PCF soit "devenu incolore, inodore et sans saveur".


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