AID Association initiatives dionysiennes
On comprend qu’il émette des doutes sur sa candidature en 2012 !

Un président pas convaincant !

Président de crise, c’est effectivement un métier difficile !

lundi 9 février 2009 par JMT

Selon un sondage à paraître lundi dans Libération, 66% d’entre eux déclarent ne pas être "satisfaits des "actions menées par le président face à la crise économique".

Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP, a annoncé dimanche la saisine par son parti de la commission des sondages sur une enquête portant sur l’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy, réalisée par CSA et publiée par Le Parisien, qui ont défendu leur méthode de travail.

Entre 36 et 53% des Français, selon les sondages, ont trouvé le chef de l’Etat convaincant dans l’émission "Face à la crise" jeudi soir. Selon un sondage CSA pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, 57% des personnes interrogées estiment que la suppression de la taxe professionnelle en 2010 est une bonne chose.

Après la prestation du chef de l’Etat dans l’émission "Face à la crise" de jeudi soir, retrouvez les réactions politiques et syndicales.

Si nombre d’éditorialistes soulignent l’infléchissement social du discours présidentiel, beaucoup s’interrogent sur la manière dont ses arguments seront reçus par l’opinion. Si pour Le Figaro, "Nicolas Sarkozy a raison de refuser le piège de la relance de la consommation par l’augmentation des salaires", La Tribune estime que le "cocktail" présenté par le chef de l’Etat "aura sans doute déçu".

Nicolas Sarkozy a affirmé jeudi avoir des doutes sur sa candidature en 2012 pour un deuxième mandat à l’Elysée.

Crise - L’action de Sarkozy ne convainc pas les Français

le 08/02/2009 - 19h37

Selon un sondage à paraître lundi dans Libération, 66% d’entre eux déclarent ne pas être "satisfaits des "actions menées par le président face à la crise économique".

Crédit Photo : Abaca Nicolas Sarkozy Image d’archives

Nicolas Sarkozy doit faire face à la défiance. Selon un sondage Viavoice à paraître lundi dans Libération (1), les Français sont de plus en plus sceptiques sur les réponses du président à la crise. Seules 41% des personnes interrogées émettent désormais une opinion positive sur le chef de l’Etat, contre 53% d’un avis contraire, soit un repli de 5 points par rapport à son score du mois dernier, et de 7 points par rapport à celui de novembre.

Pour Viavoice, ce contexte d’impatiences économiques "plaide en faveur des mouvements sociaux." Ce sont les Français dont la situation économique est la plus modeste qui retirent le plus massivement leur soutien : le chef de l’Etat ne recueille plus que 34% d’opinions positives auprès des ouvriers, souligne l’institut.

"Le moment de faire des mouvements sociaux"

Concrètement, les Français apparaissent de plus en plus sceptiques à l’égard de l’action engagée par le chef de l’Etat face à la crise : 66% déclarent ne pas être "satisfaits" des "actions menées par Nicolas Sarkozy face à la crise économique", soit une progression des insatisfactions de 10 points en un mois.

Dans le sillage du président de la République, le Premier ministre voit lui-même son image se dégrader ; François Fillon enregistre une popularité de 44%, en baisse de 4 points par rapport à janvier, et de 10 points par rapport à novembre.

Pour 53% des Français, c’est "justement le moment de faire des mouvements sociaux", seulement 38% se rangeant à l’opinion inverse.

Cette lecture s’explique par des clivages politiques majeurs : les sympathisants de gauche militent massivement (74 %) en faveur de la contestation, alors que ceux de droite sont favorables à l’apaisement (69%).

Protestation de l’UMP contre un sondage

le 08/02/2009 - 19h37

Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP, a annoncé dimanche la saisine par son parti de la commission des sondages sur une enquête portant sur l’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy, réalisée par CSA et publiée par Le Parisien, qui ont défendu leur méthode de travail.

Le député des Hauts-de-Seine s’est ému dans un communiqué de la publication samedi, dans le quotidien Le Parisien-Aujourd’hui en France, d’un sondage CSA selon lequel 52% des Français "n’ont pas été convaincus" par le chef de l’Etat.

"L’institut CSA et (ou) Le Parisien ont rendu publique la réponse" à une question "posée y compris aux Français n’ayant pas regardé l’émission", critique le porte-parole du parti présidentiel.

"C’est comme si on demandait aux Français n’ayant pas vu un film de donner leur avis ! Cette question ne peut être qu’une indication complémentaire et non principale", selon lui.

(1) Ce sondage a été effectué les 6 et 7 février, après l’intervention télévisée du président français, auprès d’un échantillon de 1.014 personnes.

JMT : cette protestation de l’UMP est parfaitement grotesque. A quand l’obligation de regarder les grand’messes présidentielles ???? Depuis qu’il fait de la politique, Nicolas Sarkozy nous a habitués aux effets d’annonce bling-bling jamais suivis d’effets positifs pour le peuple. Quel est l’intérêt de perdre son temps à écouter ses vaticinations quand on sait très bien pourquoi il est président : favoriser au maximum ses trés riches amis pour qu’en retour une fois quitté l’Elysée et son salaire miteux, il puisse ENFIN assouvir son vrai rêve : DEVENIR RICHE LUI AUSSI !

(D’après agence)

Sondages - Les Français partagés sur l’intervention de Sarkozy

le 06/02/2009 - 21h57

Entre 36 et 53% des Français, selon les sondages, ont trouvé le chef de l’Etat convaincant dans l’émission "Face à la crise" jeudi soir. Selon un sondage CSA pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, 57% des personnes interrogées estiment que la suppression de la taxe professionnelle en 2010 est une bonne chose.

Crédit Photo : TF1/LCI Nicolas Sarkozy dans "Face à la crise"

Disparition de la taxe professionnelle, éventuelle suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu, rencontre avec les syndicats le 18 février prochain : qu’ont pensé les Français de la prestation de Nicolas Sarkozy dans l’émission "Face à la crise" diffusée jeudi soir ?

Les avis sont partagés, à en croire deux sondages, aux résultats contradictoires. Selon un sondage CSA pour Le Parisien-Aujourd’hui en France, seules 36% des personnes interrogées ont trouvé le président de la République convaincant, contre 52% qui ne l’ont pas trouvé convaincant. Un taux de satisfaction qui s’élève à 53%, selon une enquête OpinionWay pour Le Figaro et LCI.

Dans le détail, la politique de Nicolas Sarkozy est jugée "pas cohérente" pour 51% des personnes interrogées, "pas juste" pour 56% et "pas efficace" pour 59%, selon le sondage CSA.

Les Français sont par contre 88% à estimer que l’invite du chef de l’Etat aux partenaires sociaux pour une réunion le 18 février est une bonne chose.

Ils plébiscitent également à 73% la proposition d’une suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu et à 57% la suppression de la taxe professionnelle en 2010.

Le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux, engagement réaffirmé jeudi par le président de la République, est à l’inverse vu comme une mauvaise chose par 57% des personnes interrogées par CSA.

A regarder le sondage OpinionWay, parmi les avis positifs concernant la prestation du chef de l’Etat, les personnes interrogées ont trouvé qu’il "maîtrise son sujet", "ne se laisse pas faire par les journalistes", "n’emploie pas de mots tarabiscotés", "fait de nouvelles propositions intéressantes" et "est ouvert aux négociations".

Au nombre des griefs : "son numéro est fatigant", "il élude les questions", il est "trop démagogue", il n’a pas fait de "proposition concrète" et n’est pas "à l’écoute des problèmes réels des Français".

Sondage CSA réalisé par téléphone le 6 février auprès de 960 personnes âgées de 18 ans et plus.

Sondage Opinionway réalisé en ligne les 5 et 6 février auprès d’un échantillon de 968 personnes âgées de 18 ans et plus.

(D’après agence)

Crise - Sarkozy "face à la crise" : les réactions

le 06/02/2009 - 10h31

Après la prestation du chef de l’Etat dans l’émission "Face à la crise" de jeudi soir, retrouvez les réactions politiques et syndicales.

Crédit Photo : TF1/LCI Nicolas Sarkozy dans "Face à la crise"

LES POLITIQUES :

Martine Aubry, Première secrétaire du PS : "Je n’ai pas trouvé un président qui savait où il allait, j’ai eu l’impression qu’il était plus hésitant que d’habitude. Nous n’avons eu que des hésitations, que des contradictions" et l’"impression extrêmement douloureuse d’un président qui ne comprend pas ce que vivent les Français. On attendait un changement de cap, des décisions précises. On a eu un entêtement et quelques pistes, quelques hésitations", de la part d’un chef de l’Etat "plus commentateur que décideur".

Benoît Hamon, porte-parole du PS : "On voit bien que ce président de la République se caractérise par une forme d’entêtement, d’obstination à penser qu’il a toujours raison seul contre tout le monde, mais surtout par une grande incohérence". Surtout, il a fait valoir "à quel point il se contredit, à quel point il est hésitant devant cette crise et à quel point, il est finalement incohérent".

Jean-Christophe Cambadélis, député PS de Paris : "Nicolas Sarkozy maintient le cap sur l’essentiel, propose des suggestions sur le superflu. Le président de la République a mis ’à côté de la plaque’ en maintenant sa ligne alors que tout change".

Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l’Assemblée : "Le président n’a pas seulement eu un tardif éclair de lucidité, il a donné raison à ce que nous n’avons cessé de dire et de promouvoir : une relance fondée sur un nouveau modèle de partage et de développement : emploi, pouvoir d’achat, investissement".

Victorin Lurel, député PS et président du conseil régional de Guadeloupe : "Le président de la République n’a pas un mot pour la Guadeloupe. Malgré des questions sur la crise, le pouvoir d’achat et les mouvements sociaux, ce silence du chef de l’Etat est tout simplement choquant et stupéfiant, impensable si un territoire hexagonal avait connu pareil blocage. Ce silence est également méprisant au moment où ce territoire de la République traverse une crise sociale de très grande ampleur, générée par la politique gouvernementale".

Marielle de Sarnez, vice-présidente du Modem : "Je ne suis pas sûre que Nicolas Sarkozy ait convaincu ce soir. J’ai eu le sentiment qu’il y avait un décalage important entre ce que les Français exprimaient ce soir très profondément et puis un discours assez politique, assez rôdé, avec des mots qu’on a déjà entendus".

Maurice Leroy, porte-parole du Nouveau Centre : Nicolas Sarkozy, "refusant le renoncement a redessiné ce soir pour les Français un horizon politique", avec "volonté", "détermination" et "pédagogie".

Le Parti de gauche : "Nicolas Sarkozy s’entête et enfume. (...) il a cherché pendant 90 minutes à profiter de la crise pour justifier sa politique tout en bottant en touche face aux demandes des Français".

Jean-Marie Le Pen, président du Front national : "Il nous a expliqué une fois de plus ce qu’il faut faire pour résoudre les problèmes (...). Et une fois de plus c’était : demain on rase gratis".

Nathalie Arthaud et Arlette Laguiller de Lutte ouvrière : "Ceux parmi les travailleurs, les chômeurs, les retraités, qui n’attendaient rien du discours de Sarkozy ce soir n’auront pas été déçus. Sarkozy n’avait rien à leur dire, si ce n’est quelques mots hypocrites de compassion".

François Fillon : "Nos concitoyens ont vu un président de la République totalement engagé à leurs côtés. [Il] a invité nos concitoyens à affronter la crise avec lucidité et solidarité. Dans l’épreuve, il a fait de l’emploi une priorité. Il a souligné avec force que l’équité et la justice sociale constituaient des composantes essentielles de la mobilisation nationale face à la crise, créant ainsi les conditions d’un dialogue social approfondi. Il a rappelé que la poursuite des réformes était la condition de notre redressement et que seule une politique de relance fondée sur l’investissement pouvait protéger nos emplois, stimuler l’économie et garantir la signature de la France".

Jean-François Copé, président du groupe UMP à l’Assemblée : "Nicolas Sarkozy a su trouver le ton et les mots justes pour rassurer les Français, en expliquant les choix de la France, en remettant notre action en perspective et en traçant la voie des réformes indispensables qu’il nous faut conduire".

Jean-Marie Bockel, secrétaire d’Etat à la Défense et aux anciens combattants : "En disant clairement ’Pour les salariés le compte n’y est pas", il a montré que la réforme et la justice pouvaient aller de pair".

Xavier Bertrand, secrétaire général de l’UMP : Aux "questions directes, précises" des Français, le président de la République a apporté des "réponses directes, précises" et "des propositions fortes".

LES SYNDICATS :

Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force Ouvrière : "Ce que je retiens, c’est qu’il n’y a pas d’annonce concrète et immédiate. Tout est renvoyé à des discussions. Discuter de la répartition des richesses avec le Medef en ce moment, ça peut durer des mois sans que ça aboutisse. Le meilleur moyen de répartir les richesses dans l’entreprise, le plus rapide, c’est d’augmenter les salaires".

La CFDT : "Le président de la République a fait peu de propositions concrètes. C’est une réelle déception au regard des enjeux qui ont été posés par le mouvement du 29 janvier".

Gérard Aschieri de FSU : "Il aurait pu prendre ses responsabilités (...), il les a esquivées ou a dit non, avec des arguments souvent caricaturaux : dire que l’emploi public est essentiellement une dépense qui va créer du chômage, qui va détruire de l’emploi privé, c’est une caricature".

CFTC : "Nicolas Sarkozy dit vouloir répondre aux attentes exprimées. Mais, il faudra des actes concrets (...). Or, pour l’instant, la CFTC constate que le Président de la République a surtout renvoyé ces questions devant les partenaires sociaux. Il ne s’agirait pas de botter en touche".

Bernard van Craeynest de CFE-CGC : "Il a ouvert beaucoup de pistes, mais il me semble surtout qu’il cherche à gagner du temps. (...) La technique qui consiste à faire porter le chapeau ou à nous associer très gentiment pour vouloir sans doute nous faire porter une partie de la responsabilité du fardeau ne nous a pas échappé".

Elysée - Un Sarkozy "pragmatique" - mais est-il convaincant ?

le 06/02/2009 - 07h18

Si nombre d’éditorialistes soulignent l’infléchissement social du discours présidentiel, beaucoup s’interrogent sur la manière dont ses arguments seront reçus par l’opinion. Si pour Le Figaro, "Nicolas Sarkozy a raison de refuser le piège de la relance de la consommation par l’augmentation des salaires", La Tribune estime que le "cocktail" présenté par le chef de l’Etat "aura sans doute déçu".

Crédit Photo : TF1/LCI Les titres de la presse après l’émission de Nicolas Sarkozy sur la crise (6 février 2009)

La presse française estime vendredi que Nicolas Sarkozy a lâché du lest socialement face à la crise, tout en maintenant le cap économique lors de son intervention radio-télévisée jeudi soir.

"Pragmatique, politique avant tout", écrit Laurent Joffrin dans Libération, "Sarkozy admet qu’il faut aussi songer au pouvoir d’achat et à la consommation".

Et l’éditorialiste reconnaît que "c’est la violence de la crise mondiale et l’effondrement des anciennes valeurs d’inégalité et de compétition qui le contraignent à cette conversion progressive".

Pour Etienne Mougeotte du Figaro, "Nicolas Sarkozy a raison de refuser le piège de la relance de la consommation par l’augmentation des salaires". Car selon lui, "la relance par la consommation est toujours en France l’antichambre d’un plan d’austérité".

Jean-Francis Pécresse indique dans Les Echos que Nicolas Sarkozy a cherché à expliquer "en substance" que "la réforme est structurante et la crise passagère". L’éditorialiste économique note : "pas de quoi sans doute dissiper les anxiétés ni regagner la confiance. Mais l’essentiel, dans l’immédiat, est de circonscrire l’incendie social".

Dans La Tribune, Erik Izraelewicz juge pour sa part que le "cocktail" présenté par le chef de l’Etat "ne parviendra pas à convaincre qu’il sait comment conduire le bateau face à la crise du siècle. En cela, il aura sans doute déçu".

"Une intervention austère et frugale"

"D’entrée de jeu", constate Daniel Ruiz dans La Montagne, le président de la République "a déminé le terrain social en donnant du grain à moudre aux syndicats pour un rendez-vous du 18 février qui s’annonce déterminant pour les relations futures. Mais le président de la République n’a pas touché au noyau dur de sa politique économique".

Au final, "la carotte sera-t-elle suffisante pour rassasier les syndicats et pour apaiser le climat d’angoisse et de tension qui s’est emparé d’une partie de la population ?", se demande Patrick Fluckiger dans L’Alsace.

Même son de cloche pour Hervé Favre dans La Voix du Nord qui se demande "si ces ouvertures seront suffisantes pour écarter le risque de tempête sociale", tandis que pour Yann Marec du Midi Libre, "les Français veulent plus que de la magie.

Ils exigent des résultats". "Sarkozy le téméraire est toujours aussi volontaire mais plus tempéré dans son expression. Il a compris que son omniprésence ne suffit pas à conduire les réformes", estime pour sa part, Hervé Chabaud dans L’Union.

Dans Les Dernières Nouvelles d’Alsace, Olivier Picard, souligne que ce fut "une intervention austère et frugale, à l’exact opposé d’une période bling-bling définitivement révolue. L’homme qui défiait son siècle est tout à coup redevenu modeste devant le destin".

Pragmatique, Philippe Waucampt, du Républicain Lorrain, précise que "s’il maintient le cap, Nicolas Sarkozy conserve une chance d’être suivi".

D’après agence

Candidat en 2012 ? Sarkozy dit avoir des doutes

Afp, 05/02/2009, 22h13

Nicolas Sarkozy a affirmé jeudi avoir des doutes sur sa candidature en 2012 pour un deuxième mandat à l’Elysée.

Comme on lui demandait lors de l’émission radio-télévisée "Face à la crise" s’il lui restait "des doutes" quant à se représenter, le chef de l’Etat a répondu : "Oh que oui !"

Pourquoi ? "Parce que mon métier est très difficile, il faut beaucoup d’énergie, beaucoup de force pour le faire et je consacre toutes mes forces à le faire le mieux possible", a-t-il argumenté.

"Il y a encore trois ans et demi", a observé le président. "Aucun engagement, ni dans un sens ni dans un autre", a-t-il lancé.

"On fait un deuxième mandat parce qu’on a la force de porter un nouveau rêve et que les gens nous font confiance", selon lui.

"Ce serait extrêmement choquant que j’aie pu (prendre) une décision aussi importante alors même que je ne suis même pas à la moitié de mon premier mandat", selon M. Sarkozy.

VIDEOS

PS : Royal accuse Sarkozy de "mentir"

08 février 2009 - 17h04

Vidéo - Dimanche sur France 2, elle s’est dite "très étonnée" d’entendre le président affirmer à propos du site de Gandrange : "c’est pas très grave, il n’y a qu’un four qui ferme". "Mais un four, c’est le moteur même de l’usine", a-t-elle affirmé.

LCI.fr

Sarkozy ’’face à la crise’’ : le PS inquiet, tout comme le MoDem

06 février 2009 - 20h00

L’intervention de Nicolas Sarkozy jeudi soir a fait réagir la classe politique. Extraits.

La Redaction

Les Français partagés après la prestation de Sarkozy

06 février 2009 - 20h00

Nicolas Sarkozy a tenté lors de son intervention de jeudi soir de calmer la grogne croissante. Quelle a été la réaction des principaux acteurs touchés par la crise ? La réponse des Français.

La Redaction

Crise : Supprimer la taxe professionnelle ne fait pas que des heureux

06 février 2009 - 20h00

Le président de la République a annoncé jeudi soir la suppression de la taxe professionnelle. Premiers inquiets, les collectivités locales, qui craignent une perte non compensée de leur budget.

La Redaction

Sarkozy ’’face à la crise’’ : les syndicats sceptiques, les patrons satisfaits

06 février 2009 - 20h00

Jeudi soir, Nicolas Sarkozy a tendu la main aux syndicats, se disant prêt à discuter avec eux. Si ces derniers restent méfiants, le patronat de son côté se félicite de la suppression de la taxe professionnelle.

La Redaction

"Face à la crise" : Nicolas Sarkozy face à la crise : qu’en pensent les Français ?

06 février 2009 - 13h00

Plus de 15 millions de téléspectateurs ont suivi la prestation du Président de la République. A Clermont-Ferrand, il ne semble pas vraiment avoir réussi à rassurer les Français.

La Redaction

PS : Pour Aubry, Sarkozy n’est pas de Gaulle

06 février 2009 - 08h40

video La chef du Parti Socialiste a réagit aux propos de Nicolas Sarkozy jeudi soir à l’émission "90 minutes pour convaincre".

LCI.fr

CGT : "Le Medef mène 8 milliards à zéro", estime Thibault

06 février 2009 - 08h38

Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a réagit à l’annonce jeudi de Nicolas Sarkozy de supprimer la taxe professionnelle.

LCI.fr

"Face à la crise" : L’intégralité de l’intervention de Sarkozy

05 février 2009 - 21h51

Vidéo-Retrouvez l’intégralité de l’émission dans laquelle Nicolas Sarkozy s’est adressé aux Français sur la crise économique.


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