AID Association initiatives dionysiennes
Le yoyo est-il préférable à une franche baisse ?

Blues pour tout le monde !

mardi 28 octobre 2008 par JMT

Le chef de l’Etat est équitable : 100.000 emplois aidés de plus vont coûter 1,2 milliard d’euros quand il en investit 10,6 dans les banques pour compenser leurs pertes au casino financier mondial. Mais que sont 100.000 emplois quand il y a déjà 3 Millions de personnes au chômage mal indemnisé sans compter ceux qui ne recherchent même plus de travail car leur revenu baisse quand ils bossent ! Pourtant les solutions existent, voir par exemple le site http://www.m-pep.org/spip.php ?article604 mais elles n’ont pas l’heur de plaire aux possédants toujours pas convaincus de diminuer leur appétit !

Le droit opposable à l’emploi concernerait actuellement 3,3 millions de personnes pour un coût annuel de 127 milliards d’euros trouvé grâce à de profondes modifications de la fiscalité, en partie dans le domaine des prélèvements sur le capital. Les emplois seront créés essentiellement dans le secteur non-marchand, par des mécanismes décentralisés de démocratie dans les bassins d’emploi et de vie.

Des études menées aux USA démontrent que les ménages US ont accumulé 4500 milliards de dollars de dette pour consommer des produits à faible durée de vie tels que voitures, équipement ménager, auxquels on peut ajouter les voyages, montant correspondant en gros au déficit commercial US cumulé sur les années de folie financière.

Comment cela a-t-il été possible ? très simplement, les USA ont accepté un bas taux des monnaies asiatiques ce qui a conduit ces pays à faire de gros excédents commerciaux (dont une partie au profit des filiales asiatiques de groupes US) donc à engranger des dollars qu’ils ont placés en bons du Trésor US et en placements à la Bourse de New-York. Idem pour les pays pétroliers dont une bonne part de la "rente pétrolière" a fini outre-atlantique.

Emploi - Sarkozy se justifie. Et riposte...

Olivier LEVARD - le 28/10/2008 - 13h11

Le chef de l’Etat a répondu aux critiques sur son plan de soutien aux banques et annoncé une extension des emplois aidés et de transition professionnelle Le chef de l’Etat a demandé au gouvernement "d’augmenter à 330.000 le nombre d’embauches" en contrats aidés dans le budget 2009

Crédit Photo : DR Nicolas Sarkozy lors de son discours à Rethel le 28 octobre 2008

D’abord, se justifier. Nicolas Sarkozy a bien compris que son plan massif à destination des banques faisait grincer des dents chez les salariés français, il a donc consacré le début de son discours à Rethel (Nord-Est) sur l’emploi à la justification d’un plan souvent perçu comme un cadeau.

Le président de la république a ensuite annoncé les mesures de soutien à l’emploi déjà suggérées par le gouvernement ces dernières semaines, notamment une augmentation de 100.000 contrats aidés, et prôné plus de souplesse dans l’économie.

Le temps de se justifier

Nicolas Sarkozy a pris le temps de revenir sur les deux premières vagues d’annonces de Toulon et Annecy, ses premières réactions à la crise financière. "Il n’y aurait pas eu de plus grande erreur que de laisser le système financier s’effondrer, parce que l’argent des banques, c’est le vôtre", s’est défendu le président de la république en affirmant que "le plan voté par le parlement est fait pour les PME, pour les salariés, pour la croissance, pour l’emploi, pas pour les banques".

"Préserver l’investissement, c’est capital (...) Les investissements seront à la base du rebond d’une sortie de crise", a poursuivi Nicolas Sarkozy en rappelant sa mesure d’exonération de taxe professionnelles sur les investissements et la création d’un fonds stratégique. Il a conclu cette partie de son discours en dénonçant la "démagogie" de ceux qui le critiquent et en expliquant que "c’est pour l’emploi que nous avons sauvé l’accès au crédit et que nous encourageons l’investissement".

Bilan élogieux sur l’emploi

Le temps est venu de prendre des "mesures concrètes en faveur des salariés" dressant un bilan élogieux de son bilan "emploi". "On est passé de 8% de chômage à 7,2% (...) on a fait sauter les verrous qui entravaient l’activité des seniors" et "l’aspect rigide des 35 heures".

"Plus dure que la perte d’emploi, c’est le sentiment qu’on ne pourra pas en retrouver un, (...) c’est ce sentiment que nous voulons combattre", a promis Nicolas Sarkozy en pointant que désormais "avec le RSA, nos compatriotes dans les situations les plus difficiles ont intérêt à reprendre un emploi.

Accélérer ce qui était prévu

Nicolas Sarkozy a aussi demandé aux parlementaires de se saisir "maintenant" et "sans tabous" de la proposition de loi sur le travail dominical, un de ses sujets de prédilection qui lui a permis de manifester son incompréhension d’un système qui "empêche les gens de travailler", l’occasion de tacler une nouvelle fois les 35 heures.

Le chef de l’Etat a aussi réclamé une accélération de la fusion entre l’Anpe et l’Unedic, affirmant que "dès l’été prochain, il ne doit plus exister en France que des guichets uniques" pour les demandeurs d’emploi, et que "dès septembre prochain, l’entretien unique doit être généralisé".

Il a encore proposé de "simplifier les filières d’indemnisations" des chômeurs, avec la mise en place d’une "filière unique" qui permettrait aux demandeurs d’emploi, après six mois de cotisations "d’accumuler progressivement des droits". "Je soutiens l’idée d’une indemnité forfaitaire de chômage pour les jeunes", a par ailleurs pointé Nicolas Sarkozy dénonçant des ’"injustices"

Sécurité sociale professionnelle

Au chapitre des nouvelles mesures, le président de la république s’est engagé à prendre des "décisions pour la fin de l’année" afin de sécuriser l’emploi.

"Pour promouvoir l’emploi d’aujourd’hui, il nous faut tout à la fois créer une véritable sécurité sociale professionnelle, en sécurisant mieux les parcours professionnels et proposer des solutions immédiates et concrètes aux situations difficiles qui vont se présenter sur le terrain", a expliqué le chef de l’Etat.

"J’ai déjà dit que je souhaitais que les décisions ambitieuses soient prises avant la fin de l’année. Nous ferons donc le point avec les partenaires sociaux dans les toutes prochaines semaines sur l’avancement de leurs travaux".

Le coup de pouce : emplois aidés et de transition

Ils étaient attendus, c’était donc le moment fort de son discours, Nicolas Sarkozy a annoncé la mise en oeuvre de 100.000 contrats de travail aidés supplémentaires pour 2009.

Le chef de l’Etat a demandé au gouvernement "d’augmenter à 330.000 le nombre d’embauches" en contrats aidés dans le budget 2009 contre 230.000 prévus précédemment.

Le président de la République d’est défendu de mener la même politique que Lionel Jospin en son temps, il a d’ailleurs égratigné l’ancien Premier ministre un peu plus tard dans son discours.

Le secrétaire d’Etat à l’Emploi, Laurent Wauquiez, est chargé de préparer un plan d’action et de "veiller à ce qu’une véritable offre de services soit destinée aux bénéficiaires de contrats aidés, en cours même de contrat, pour leur donner le maximum de chances d’obtenir à la sortie un emploi dans une entreprise".

Dans l’immédiat, Nicolas Sarkozy a dit qu’il veillerait "à ce que les 60.000 contrats supplémentaires récemment décidés pour 2008 soient bien au rendez-vous d’ici fin décembre".

Nicolas Sarkozy a également promis que l’expérimentation du contrat de transition professionnelle pour aider les licenciés économiques à se reclasser serait prolongée et étendue aux "bassins d’emploi qui seront les plus touchés par des difficultés économiques".

"C’est cher, mais moins cher que de laisser des personnes au chômage pour une longue durée", s’est-il défendu. "On ne laissera tomber personne de ceux qui veulent s’en sortir et travailler. C’est donnant-donnant", a conclu le chef de l’Etat.

Le moral des ménages français reperd trois points en octobre

AFP - mardi 28 octobre 2008, 12h52

Le moral des ménages français, qui s’était repris en septembre, est reparti à la baisse en octobre, l’indicateur qui le mesure perdant trois points à -47 en données corrigées des variations saisonnières, a annoncé l’Insee mardi.

Au mois d’octobre, toutes les composantes de l’indicateur résumé se sont dégradées, à l’exception de l’opinion sur l’évolution passée de la situation financière personnelle des ménages, qui s’est améliorée légèrement.

La dégradation la plus notable concerne les perspectives d’évolution du niveau de vie en France, le solde passant de -50 à -59 points. L’opinion des ménages sur l’évolution passée du niveau de vie en France se détériore aussi mais moins nettement (de -80 à -82).

Les ménages sont plus pessimistes sur l’évolution future de leur situation financière personnelle (le solde passe de -80 à -82). Enfin, le solde sur l’opportunité de faire des achats importants diminue en octobre (de -37 à -39). En octobre, les ménages sont nettement plus nombreux à penser que le chômage va augmenter dans les douze prochains mois.

Leur opinion sur leur situation financière actuelle est quasiment stable.

La part des ménages estimant que le moment est favorable pour épargner diminue très fortement ce mois-ci (le solde passe de 16 à -7). Parallèlement, la part de ceux qui jugent avoir la capacité future d’épargner recule aussi mais dans une moindre mesure.

Enfin, l’opinion des ménages concernant l’évolution passée des prix continue de s’améliorer mais les ménages anticipent des hausses de prix plus rapides dans les prochains mois.

La crise va coûter 2800 milliards de dollars au système financier selon la Banque d’Angleterre

La Tribune.fr - 28/10/2008 à 11:31

Le rapport semestriel de la Banque d’Angleterre donne une évaluation chiffrée du coût de la crise actuelle pour le système financier mondial. Il est énorme mais le marché semblait craindre un trou encore plus important. L’Espagne va encore mettre 100 milliards d’euros sur la table en 2009. Les experts attendaient avec impatience le rapport semestriel de la Bank of England (BoE), la Banque d’Angleterre, sur la stabilité financière mondiale. Ils n’ont pas été déçus.

Cette honorable institution révèle ce mardi que selon ses calculs le système financier mondial pourrait perdre 2.800 milliards de dollars soit 2.240 milliards d’euros dans la crise du crédit. Un chiffre énorme qui a paradoxalement de quoi en partie rassurer, les marchés semblant prévoir un montant supérieur.

"Les pertes à la valeur de marché ont fortement augmenté depuis le rapport d’avril pour une majorité d’instruments financiers, avec un quasi-doublement pour le Royaume-Uni et les Etats-Unis, et une hausse plus importante encore pour la zone euro" indique la BoE.

La Banque d’Angleterre estime que ces pertes "continuent de refléter d’importantes décotes liées à l’incertitude tenant à la performance future des collatéraux et à l’illiquidité des marchés secondaires. La valeur économique de ces actifs est nettement supérieure à leur valeur actuelle de marché."

La Bank of England souligne l’importance des interventions des autorités monétaires et politiques pour stabiliser le système bancaire. Elle chiffre à 5.000 milliards de livres sterling soit 6.250 milliards d’euros) le montant global des financements mis à la disposition des marchés par les banques centrales et les Etats depuis le mois d’avril.

Elle s’attend du coup à l’augmentation du poids réglementaire sur les banques et à davantage de contraintes dans leur activité de financement de l’économie ainsi qu’à une réduction de leur exposition aux opérations d’endettement à effet de levier (LBO, leveraged buy-out).

L’Espagne va garantir pour 100 milliards d’euros également en 2009

Signe du poids de ces interventions publiques, l’Espagne annonce que le montant maximal des garanties de l’Etat qu’elle accordera aux prêts interbancaires en 2009 sera de 100 milliards d’euros, comme en 2008.

Le gouvernement espagnol a également créé un fond, doté d’un maximum de 50 milliards d’euros, qui aura pour mission d’acquérir des actifs titrisés auprès des banques, à charge pour ces dernières de se servir des liquidités obtenues pour concéder des crédits aux entreprises et aux particuliers.

latribune.fr

La Bourse de Paris fait du yo-yo et repart à la hausse

La Tribune.fr - 28/10/2008 à 09:26

Après une ouverture en hausse, dans le sillage des places asiatiques ce matin, puis un passage dans le rouge, la Bourse de Paris retrouve en fin de matinée le chemin de la progression. A 11h30, le CAC 40 gagne 1,67% à 3.118 points malgré les mauvais chiffres économiques français.

C’est ArcelorMittal qui prend la tête du CAC dans les premiers échanges, avec un bond de 7,35% à 16,91 euros. Le titre se rattrape un peu après avoir perdu 56% de sa valeur boursière sur le mois.

Le secteur pétrolier évolue aussi dans le vert, dans le sillage du britannique BP qui a publié ce matin d’excellents résultats trimestriels. Vallourec, qui a aussi beaucoup souffert ces dernières semaines, prend 4,66% à 73,85 euro. Et Total gagne 5% à 37,30 euros.

Les valeurs financières reprennent également des couleurs après une séance difficile hier. Axa gagne 4,25% à 13,67 euros. Société Générale, qui a perdu 15% hier, prend 4,91% à 39,84 euros. Crédit Agricole +2,72% à 10,37 euros. Et BNP Paribas gagne 0,79% à 55,39 euros.

Seul Dexia s’enfonce encore dans le rouge. C’est d’ailleurs la seule baisse du CAC 40 ce matin. Le titre laisse 4,56% à 3,75 euros. La banque a annoncé que sa filiale en Slovaquie a eu une exposition excessive aux devises qui va lui coûter 82 millions d’euros.

Toujours dans le secteur financier, Natixis prend 4,2% à 1,49euros. L’agence de notation Standard and Poo’rs a pourtant abaissé sa note sur la banque.

Belle hausse aussi ce matin pour STMicroélectronics avec un gain de 3,41% à 6,24 euros. Le groupe doit publier ses résultats du troisième trimestre après la clôture à Wall Street.

Sur le SRD, Publicis progresse également de 1% à 15,96 euros. Le groupe a publié ce matin une croissance organique de 3,9% au troisième trimestre, et a surtout confirmé ses objectifs de croissance organique et de marge opérationnelle pour 2008.

Biomérieux, lui, s’envole de 6,69% à 55,45 euros. Le marché salue un chiffre d’affaires en hausse de 4,3% au troisième trimestre et le maintien des objectifs annuels.

Pour finir sur les marchés des devises, l’euro reprend un peu de terrain face au billet vert. 1 euro vaut 1,2513 dollar. Du côté du pétrole, le baril de WTI vaut 63,31 dollars et le baril de Brent s’échange à 61,24 dollars.

latribune.fr

Le Crédit Agricole anticipe une baisse des prix de l’immobilier français de 15% d’ici 2009

La Tribune.fr - 27/10/2008 à 16:16

Pour les analystes du Crédit Agricole, la correction du marché immobilier français qui a débuté il y a quelques semaines sera "plus forte que prévu", mais il ne faut pas pour autant redouter "un krach".La banque verte table sur une baisse de 15% des prix d’ici 2009.

Depuis le début de l’année 2008, le marché immobilier français subit une nette correction, selon une étude du Crédit Agricole. Le volume des transactions a chuté de 20% au premier semestre tandis que les mises en chantiers ont baissé de 10% au premier trimestre et de 28% au deuxième. Les analystes de la banque verte tablent sur une baisse des prix de 5% en 2008 et de 10% en 2009.

La situation est meilleure dans l’ancien, où le volume des ventes n’a reculé que de 15% au premier semestre, estiment les économistes du Crédit Agricole. Les prix y ont connu un "freinage continu" depuis 2004, en particulier les maisons (-5,9% en moyenne par an).

A l’inverse, la situation est plus préoccupante dans l’immobilier neuf, où les ventes ont reculé de 34% sur un an au deuxième trimestre, après une chute de 28% au second. Cette situation n’est pas étrange, car les prix continuent à augmenter sur ce marché. En conséquence, les acheteurs potentiels n’ont plus la solvabilité nécessaire aux yeux des banques pour investir dans la pierre.

D’après les économistes de Crédit Agricole, la correction devrait se poursuivre dans le secteur immobilier français, mais on ne devrait pas assister à un effondrement du marché. La banque verte a identifié cinq facteurs de baisse des ventes.

D’une part, elle observe une contrainte de solvabilité de plus en plus forte et qui est en train d’atteindre ses limites, d’autre part, elle note que les investissements locatifs sont moins attractifs qu’auparavant. Pour la banque, ces deux facteurs sont à l’œuvre depuis environ deux ans.

Eviter une "spirale baissière marquée"

Mais trois éléments plus récents ont un impact négatif sur les transactions dans le secteur immobilier. Tout d’abord, la conjoncture économique actuelle, faite d’incertitude, renforce l’attentisme des acheteurs potentiels. Ensuite, le resserrement des conditions d’octroi de crédit et les anticipations de baisses des prix ont un impact négatif sur la demande.

Face à cette situation morose, les analystes du Crédit Agricole restent sereins. Selon eux, un recul des prix "graduel mais significatif" est à attendre dans les prochains mois, mais le plan de soutien européen au système bancaire devrait limiter la casse. Ils jugent "les fondamentaux du marché plutôt favorables", de qui devrait permettre d’éviter "une spirale baissière marquée".

L’immobilier décroche ailleurs en Europe et reste morose aux Etats-Unis Le Royaume-Uni et l’Espagne sont confrontés à des situations beaucoup plus précaires en matière de marché immobilier, selon le Crédit Agricole.

Outre-Manche, les prix affichaient une baisse de 13% sur un an en septembre dernier et l’octroi de prêts immobiliers est presque bloqué : en août, le nombre de prêts accordés atteignait à peine 32.000, contre une moyenne mensuelle de 110.000 entre 2002 et 2007. Dans le même temps, les saisies immobilières atteignent des records.

En Espagne, le marché résidentiel connaît lui aussi un fort réajustement. Les ventes et les mises en chantiers devraient poursuivrent leur chute en 2009, tandis que les analystes tablent sur une baisse des prix de 5% cette année et de 10 à 15% l’an prochain.

Par ailleurs, selon le célèbre professeur de l’université new-yorkaise Stern School of Business, Nouriel Rubini, qui a prédit la crise financière actuelle née de la chute du marché immobilier et du crédit qui s’y rattache, le prix des maisons aux Etats-Unis va continuer à décliner jusqu’en 2010 au rythme de 16% par an et connaîtra ainsi une chute globale de 40%, la plus importante depuis la grande dépression amorcée après le krach de 1929.

VIDEOS

Crise : les Français frileux sur leurs vacances d’hiver

La crise touche le tourisme, avec une chute de près de 30% des prises de commande pour la saison d’hiver. La baisse porte sur les long-courrier et la basse saison. Durée : 1min15

Le PS demande une autre politique pour l’emploi

Un changement radical de la politique menée depuis un an et demi, et de vraies mesures en faveur de l’emploi et des salariés. C’est ce que demande le Parti socialiste. Extraits du point presse hebdomadaire du PS. Durée : 1min09


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